Respecter notre environnement
La Fondation Arche des Abeilles a planté plus de 50’000 m2 de prairies fleuries mellifères pour les insectes pollinisateurs.
Respecter signifie préserver le rythme biologique naturel des abeilles en se mettant au service de leur bien-être et en évitant toute intervention superflue.
Être à l’écoute de la nature, c’est la respecter dans sa globalité.
Pérenniser nos colonies locales
La Fondation Arche des Abeilles pratique une apiculture douce et respectueuse des abeilles et de l’environnement, et préserve les habitats des abeilles sauvages.
Elle installe des ruches dans des zones viables à l’année pour assurer le confort de ces damoiselles, et récolte le miel de façon éthique, au gré de ses besoins et des saisons.
Créer une miellerie
Naturellement curieux, l’enfant explore, manipule, construit, crée et se questionne. Lui offrir un parcours didactique, c’est stimuler son intérêt, favoriser son apprentissage.
D’où la nécessité de créer une miellerie, véritable lieu d’enseignement, d’échange et de partage.
La miellerie doit être exemplaire. Elle est capitale aux bonnes pratiques apicoles.
L’apiculteur doit pouvoir expliquer comment extraire le miel, le mettre en pot, le conserver dans des locaux propres et adaptés.
Aujourd’hui, au rucher de Satigny, nous accueillons déjà les enfants dès la 7P pour une immersion totale, à la rencontre des abeilles, de la flore et de la faune.
Susciter des vocations
Le métier d’apiculteur est exigeant, passionnant, gratifiant, physique, complexe, complet, pratiqué dans une nature offrant 1000 récompenses.
Il nécessite une formation pointue, un investissement total, c’est un engagement au quotidien. Un métier ancestral, et d’avenir.
Pour que les enfants repartent avec l’envie d’être apiculteur, il faut les intéresser, les impliquer, les convaincre. C’est pourquoi tout doit être parfait et professionnel : la miellerie, le rucher, le jardin, l’apiculteur.
Le but étant de présenter et valoriser l’apiculture comme une véritable profession, et non un simple hobby.
Combien coûte le parrainage d’une ruche ?
La Fondation « ARCHE DES ABEILLES », est à but NON LUCRATIF, votre donation sera déductible de vos revenus.
Pour la Fondation ARCHE DES ABEILLES, devenir parrain c’est un engagement, réel, participatif, concret, immédiat et d’hyper proximité. Une bonne action que nous réalisons ensemble, aujourd’hui et pour demain.
À chaque parrainage, j’introduis une nouvelle ruche dans notre campagne genevoise, soit environ 40000 abeilles qui, GRÂCE A VOUS, polliniseront les fleurs de notre campagne.
Nous pouvons aussi vous proposer plusieurs façons de soutenir la Fondation Arche des Abeilles, merci de remplir le formulaire ci-dessous pour en discuter de vive voix avec vous.
Comme vous l’avez compris, mon souhait est de vous faire partager ma passion, la mission que nous avons de protéger notre belle nature.
C’est pourquoi je vous attends l’année de votre parrainage au rucher, pour vous faire découvrir l’univers incroyable et méconnue de nos chères abeilles.
Je vous envoie aussi régulièrement des nouvelles de votre ruche et de vos protégées, pour suivre leurs évolutions.
Vous aurez le plaisir de découvrir et de déguster le miel de votre propre ruche personnalisée aux couleurs de votre famille ou de votre société.
Merci du temps que vous avez consacré à me lire.
À bientôt
Stéphanie
Pourquoi parrainer une ruche ?
Les abeilles sont responsables de plus de 80% de la pollinisation de nos fleurs qui donneront fruits et légumes. Sans elles, pas ou peu de productions locales, la base même de notre alimentation. Elles fécondent aussi les fleurs sauvages, essentielles pour notre biodiversité, notre vie, notre devenir.

Où sera t’elle concrètement ?
Voici une carte des différents endroits possibles pour installer votre ruche.

En savoir plus sur le parrainage
Respecter le rythme des abeilles, est essentiel, c’est justement au travers de chaque parrainage, que je peux, grâce à vous, prendre la liberté et le temps d’aller exclusivement dans leur sens.
Concrètement, si les conditions météorologiques ne permettent pas à nos abeilles de produire suffisamment de miel, je ne le récolte pas. Le miel est leur propre nourriture, seul l’excédent est prélevé artisanalement, avec éthique. Je refuse de nourrir nos abeilles avec du sirop pour faire du miel. Je ne transhume pas nos abeilles, les temps de repos sont, pour nous comme pour elles, synonymes de qualité de vie.
Mon rêve, la mission que je me suis donnée, est de réintroduire et préserver des colonies d’abeilles saines et fortes sur notre canton, avec un cahier des charges biologique très exigent. Si aujourd’hui nous redressons doucement la barre, l’équilibre reste fragile.
« Si l’abeille disparaissait de la surface du globe, l’homme n’aurait plus que quatre années à vivre »
Albert Einstein.
Voilà pourquoi j’ai personnellement arrêté mon ancien travail, pour me consacrer totalement à nos chères abeilles.
Je suis maman de deux enfants, je vis dans une ville que j’adore et qui m’apporte tout ce que je désire, campagne, lac, productions locales de légumes, fruits, céréales…
Nous sommes chanceux, je souhaite simplement préserver et protéger notre environnement.
Si comme moi vous êtes sensible à notre environnement et à son devenir, je serai très heureuse de vous accueillir dans la Fondation ARCHE DES ABEILLES, pour devenir marraines ou parrains.



La réalité
Les abeilles sont présentes sur la planète Terre depuis 30 millions d’années, les hommes récoltent le miel depuis la fin de la Préhistoire.
Le « syndrôme d’effondrement des colonies », observé depuis les années 1990, a des impacts sur le secteur apicole et agricole, mais plus largement sur l’ensemble de la biodiversité. Une réalité qui se chiffre en milliards.
En 2012, en Suisse, près de 50% des colonies ont été décimées, selon le Centre de recherches apicoles de la station de recherche Agroscope et l’Office fédéral de l’agriculture (OFAG).
50% correspond au chiffre difficilement imaginable de 100’000 colonies.
Dans certaines régions du monde comme au Sichuan (Chine), la disparition d’insectes pollinisateurs oblige les hommes à procéder manuellement, tous les insectes pollinisateurs ayant été décimés par les pesticides.
Pourquoi j’ai créé la Fondation Arche des Abeilles : parce que ces chiffres et constats m’ont émue, attristée et terrifiée.
Et vous, tout cela ne vous choque pas ?
Stéphanie Vuadens
Une question d’équilibre
Stéphanie a commencé avec cinq ruches. Elle s’est investie personnellement et professionnellement, a décidé d’apprendre et de comprendre un monde alors inconnu, prenant conscience de l’importance capitale des abeilles.
Un insecte qui contribue largement à l’équilibre de notre environnement naturel, mais qui subit également de plein fouet les dérèglements climatiques, les attaques prédatrices, les traitements chimiques…
On pourrait parler de combat personnel si leur activité n’impactait pas tant l’environnement ou l’avenir de nos enfants. L’abeille est au centre de notre écosystème.
Prendre soin d’elle a un impact immédiat et direct sur l’agriculture locale, sur la flore et la faune, sur notre biodiversité naturelle et sauvage, sur notre avenir et notre devenir.

